www.worldwildwest.zone : le temps ou la vie.
Il y a peu, je lisais dans Le Monde que les chirurgiens et autres aides soignantes ou anesthésistes surfent autant que n'importe quel cadre au bureau. Sauf que certains téléchargent des images tandis que d'autres transfusent des anesthésiants ou du sang tout neuf. Evidemment, ça n'a plus la même portée, on parle de risques, là. Mais il paraît que ce n'est pas grave, puisque les anesthésistes lisaient avant. Ah bon, alors ça va, me voici rassurée.
Il y a peu, je lisais dans Le Monde que les chirurgiens et autres aides soignantes ou anesthésistes surfent autant que n'importe quel cadre au bureau. Sauf que certains téléchargent des images tandis que d'autres transfusent des anesthésiants ou du sang tout neuf. Evidemment, ça n'a plus la même portée, on parle de risques, là. Mais il paraît que ce n'est pas grave, puisque les anesthésistes lisaient avant. Ah bon, alors ça va, me voici rassurée.
Sinon, sérieusement, cela a-t-il du sens de pleurer sur le temps que l'on n'a pas quand on en perd une pléthore à répondre à des mails d'amis que l'on voit régulièrement ? Evidemment puisque, quand on les voit, on n'a pas le temps de tout se dire. (Memo de la rédactrice, c'est une fille qui vous parle).
Et pour pousser le raisonnement à son comble, à quoi le temps est-il bien employé ?
Comment trouver l'équilibre entre ses différentes obligations, les relations humaines et les envies personnelles ?
Un éléphant, qui se balançait...
Je crois qu'en écrivant cette phrase, je touche au mot qui fera mon année 2012 : l'équilibre.
Et qu'il n'est pas acquis celui qui me permettra d'obtenir le résultat suivant : moins de virtuel, plus de réel.
(Quoique. Si je compte les choses réelles que j'effectue toute la journée grâce à mon travail dans le monde virtuel, ce n'est pas tout à fait juste. Le tout étant de parvenir à débrancher le soir...)
Je suis comme beaucoup d'entre nous, je dois reconnaître que longtemps je me suis ennuyée, et que je ne sais plus le faire. La faute au grand vide Internet si bien rempli.
ça me fait tout drôle d'en arriver à cette conclusion, d'autant que pendant que je surfe, je n'écris pas.
Je me rassure en songeant que j'écris dans mon blog, mais je ne me dupe pas.
C'est là que le bât blesse. Puis-je continuer à consacrer le petit temps que je laisse à l'écriture pour alimenter ce blog ?
(Quoique. Si je compte les choses réelles que j'effectue toute la journée grâce à mon travail dans le monde virtuel, ce n'est pas tout à fait juste. Le tout étant de parvenir à débrancher le soir...)
Je suis comme beaucoup d'entre nous, je dois reconnaître que longtemps je me suis ennuyée, et que je ne sais plus le faire. La faute au grand vide Internet si bien rempli.
ça me fait tout drôle d'en arriver à cette conclusion, d'autant que pendant que je surfe, je n'écris pas.
Je me rassure en songeant que j'écris dans mon blog, mais je ne me dupe pas.
C'est là que le bât blesse. Puis-je continuer à consacrer le petit temps que je laisse à l'écriture pour alimenter ce blog ?
Des fois je m'échappe.